jeudi 2 avril 2015

Printemps du cinéma 2015

HEy!

J'ai fais le printemps du cinéma cette année encore mais pas toute seule cette fois ci. J'ai été voir 4 films tous très différents et avec pour chacun des trucs à vous dire. C'est partit





Le premiers ce fut Big Eyes de Tim Burton

BIG EYES raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane (Christoph Waltz) a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n’avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret (Amy Addams). L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier. Le film se concentre sur l’éveil artistique de Margaret, le succès phénoménal de ses tableaux et sa relation tumultueuse avec son mari, qui a connu la gloire en s’attribuant tout le mérite de son travail.

Déjà petite chose qui m'a plu, il y avait Krysten Ritter que je surkiff dans veronica mars en peste détestable. Et ici elle joue le rôle d'une bonne amie un peu folle et libérée qui incarne un peu
ce que j'aspire à devenir. 

En ce qui concerne le film je l'ai vraiment ADORE! Enfin Burton sort de cette spirale de l'exagération. Il revient avec son style, sa pâte mais aussi avec sa poésie. En plus, une histoire vraie qui bien que parfois agaçante de par la naïveté du personnage de Margaret s'en sort plutôt bien et avec classe.

Je le conseil vraiment.
le couple qui a inspiré le film




Ensuite j'ai vu Divergente 2  de Robert Schwentke.

Bon forcément si vous n'avez pas vu le un, pas très passionnant. Mais vraiment j'ai adoré motherfucké la méchante tout du long, m'esclaffer pour les scène adolescentes gnangnan et prendre plaisir aux blagues douteuse du petit merdeux de service. Des rebondissements intéressants, une histoire bien filée et des décors plutôt pas mal donc pas du tout déçue du deuxième volet et plutôt impatiente pour le troisième si il continue dans cette voie. 







Puis on s'est dépêcher d'aller voir Still Alice de Richard Glatzer et Wash Westmoreland.

Un peu d'appréhension car je le sentais j'allais pleurer à torrent.

Mariée, heureuse et mère de trois grands enfants, Alice Howland (Julianne Moore) est un professeur de linguistique renommé. Mais lorsqu’elle commence à oublier ses mots et qu’on lui diagnostique les premiers signes de la maladie d’Alzheimer, les liens entre Alice et sa famille sont mis à rude épreuve. Effrayant, bouleversant, son combat pour rester elle-même est une magnifique source d’inspiration.


Un film merveilleux. Sans aucun doute le meilleur de ma journée ciné mais aussi le plus dur. J'ai eu énormément de mal à ne pas continuer à pleurer une heure après. J'étais soufflée par le jeu d'acteur de Julianne Moore et Kristen Stewart qui joue sa fille.Deux femmes merveilleuses.

Je savais que ça allait me prendre aux tripes ayant vu des gens de ma familles dépérir sous cette maladie difficile. Et ça n'a pas loupé. J'ai vu cette maladie qui me terrorise se mettre en marche devant moi. J'ai vu cette tristesse qu'elle amène mais aussi l'amour qu'elle laisse vivre malgré tout. Et c'est vrai que pour moi l'amour permet de combattre énormément de choses.

Je ne sais pas si je réussirais à le revoir mais si je le fais, je suis certaine de me retrouver de nouveau confrontée à ce flot de sentiments contradictoires sans pouvoir les stopper.



On est trop badass tellement on fait bien semblant
d'être des gens hardcore

Enfin nous avons vu 50 nuances de Grey de Sam Taylor-Johnson...

Là je précise c'est juste parce que ce n'était pas cher et putain heureusement que j'ai pas payé cher. 

J'ai tellement ri que je me demande encore comment je ne me suis pas pissée dessus. Déjà car dans la salle il y avait des gens chelou pour voir un film de ce genre (un vieux couple et leur fils de 16 ans entre ses parents je précise.... deux couples de jeunes qui faisaient des bruits chelou et nous trois, jeunes filles en quête de pénis et de testostérone) et puis surtout car les répliques du film m'ont vraiment sciée. Plus fanfiction de série Z tu meurt. Les dialogue reflétaient une maturité résorbée. Une jolie scène dans un bar, elle bourrée qui appelle ce vieux mec qu'elle à vu il y a deux jour pour lui sortir des vieux trucs de meuf accro, un putain de dialogue avec l'expression "sac à patate"... Elle a du faire un pari pour le glissé celui là et des vieux cliché du "oh mais je ne fais jamais ça, mais bon avec toi c'est pas pareil...." J'ai vraiment adoré cette fille qui le fait tourner en bourrique sans arrêt alors qu'il se prends pour un mâle, un vrai, j'aurais tant voulut qu'il lui explique ce qu'est un plug anal et j'aurais tellement apprécié voir des allusion homosexuelles pour compléter le tableau. 

En tout cas, j'ai compris qu'il y aurait une suite,il parait que je serais obligée d'aller la voir avec mon amie qui m'accompagnait et je pressent que je serais étonnamment malade à ce moment là.
C'est un peu tout ce qu'on à vu au final. Un beau résumé des pénis qu'on voulait tant voir

3 commentaires :

Jean-Léon a dit…

Merde alors je n'ai lu que des mauvaises critiques de Big Eyes ... Je ne sais plus à quel saint me vouer.

Jean-Léon a dit…

STILL ALICE EST UNE MERVEILLE ! A me faire pleurer des rivières.

N la C a dit…

Big eyes est pour moi un très bon film mais je pense qu'il n'a pas fait ce que les gens attendaient de Burton tout simplement